AssangeDAO Airdrops #PritiPlease NFTs à ses fidèles militants
AssangeDAO a largué ses NFT #PritiPlease aux militants qui ont demandé au ministre britannique de l’Intérieur, Priti Patel, de refuser de signer l’ordonnance d’extradition de Julian Assange vers les États-Unis. Assange est le fondateur de WikiLeaks et, selon The Guardian, il est classé comme vulnérable.
AssangeDAO PritiPlease NFT
AssangeDAO a eu un airdrop de 100 éditions de NFT, qui ont été distribuées aux militants qui ont demandé à Priti Patel de refuser de signer l’ordonnance d’extradition américaine d’Assange.
Il a été créé pour tenter de libérer Julian Assange, qui est le fondateur de WikiLeaks. Après le parachutage, ils ont déclaré : « Gardez l’élan et passez à l’action ! Il ne reste plus beaucoup de temps avant le 18 mai. Continuez à vous battre jusqu’à ce qu’Assange ait sa liberté !
AssangeDAO a également organisé des manifestations, créé de nombreux contenus et constitué une communauté solide afin d’empêcher Patel de signer l’extradition.
Au-delà de cela, ils ont également échangé des jetons JBX contre des ETH, représentant une valeur de 198 ETH. Cet ETH sera utilisé pour financer les travaux en cours du DAO. Ceci, en raison de la nature d’un DAO, a fait l’objet d’un vote, et ils ont dit qu’un échange serait le mieux.
L’affaire Julian Assange
Julian Assange est détenu depuis trois ans dans la prison de haute sécurité de Belmarsh, dans le sud-est de Londres, sans avoir été condamné. Maintenant, l’activiste australien risque d’être extradé vers les États-Unis. La décision finale doit être prise ce mois-ci par le ministre de l’Intérieur, Priti Patel.
Beaucoup de gens pensent qu’il faut résister à l’extradition dans le cas d’Assange, y compris l’AssangeDAO qui a été créé pour soutenir cette affaire. S’il est envoyé aux États-Unis, il devra faire face à une durée non confirmée dans une prison américaine.
Pour clarifier, il a été accusé de complot en vue de commettre une intrusion informatique (qui peut être le piratage d’un ordinateur gouvernemental). Il a d’abord été condamné à 50 semaines de prison pour avoir manqué à sa caution et s’être caché à l’ambassade d’Équateur.